Louie Lawen est responsable de Dexel Developments, le bras de développement, de conception et de construction de The Lawen Group. Joueur de renom dans le marché immobilier d’Halifax, The Lawen Group compte aussi parmi ses filiales Paramount Management, propriétaire et exploitant d’immeubles d’appartements. Dexel développe, conçoit et construit des immeubles urbains à unités multiples et à usage mixte qui sont la propriété de la famille Lawen.
Louie se prononce sur le marché d’Halifax, là où se trouvent les occasions à saisir, sa vision en matière de croissance et pourquoi l’importance que First National accorde aux relations est si fondamentale à son entreprise.
Q : Quelles sont vos perspectives concernant le marché d’Halifax?
LL : Halifax est un marché très unique, où environ 90 % des immeubles à unités multiples sont locatifs. En fait, c’est le scénario inverse à celui qui existe dans le reste du Canada, où les copropriétés dominent. Le marché des appartements se porte très bien ici. Le marché est robuste, mais il ralentit et devient de plus en plus concurrentiel. Jusqu’à tout récemment, le gros du développement se faisait dans les banlieues. Cependant, la ville est aujourd’hui perçue comme une option plus viable. Quelque 2 000 logements sont en train d’être construits uniquement sur la péninsule, ce qui représente dix fois le nombre habituel. Construire à Halifax demeure abordable comparativement à des marchés comme Toronto.
Q : Où se trouvent les possibilités selon vous?
LL : Nous axons nos efforts sur de plus grands projets nous permettant de proposer des commodités de calibre mondial. De nos jours, la qualité des unités va de soi. Ce sont des commodités attrayantes qui permettent d’offrir une valeur ajoutée. Nos immeubles sont occupés par toutes les couches de la société, jusqu’à des politiciens et les PDG des plus grandes entreprises d’Halifax. Cela témoigne de l’abordabilité et de la qualité de notre offre.
Q : Quelle est votre vision en matière de croissance?
LL : Nous poursuivons continuellement un modèle de croissance. Il ya quelques façons de croître : hausser les loyers, augmenter l’offre ou réduire les dépenses. Notre objectif est de construire des immeubles plus efficaces afin de pouvoir réduire nos coûts sans compromettre la qualité.
Q : Quel soutien First National vous apporte-t-elle dans la poursuite de vos objectifs de croissance?
LL : Dans notre entreprise, il y a beaucoup de choses qui bougent et nous considérons First National comme un véritable partenaire. Notre équipe de First National nous offre les taux les plus concurrentiels, le meilleur service et des conseils très professionnels. Nous avons travaillé avec First National sur notre plus important financement à ce jour, soit un prêt à la construction pour un immeuble de 214 unités.
First National a une expérience sans précédent de la SCHL. Les spécialistes du financement de First National savent comment naviguer entre la réglementation gouvernementale et la bureaucratie, éliminant ainsi l’obstacle de négociations rigoureuses. Étant donné notre structure (nous n’avons accès ni à des investisseurs ni à des sources de financement externes), le financement et le réinvestissement dans l’entreprise sont fondamentaux à notre succès et notre profitabilité.
Q : Sur la base de votre expérience, comment First National fait-elle la démonstration qu’elle est « plus qu’un simple prêteur »?
LL : Pour First National, ce n’est pas juste la transaction qui compte. Par exemple, j’avais informé Jody Comeau, notre représentant à Halifax, que nous évaluions une importante acquisition commerciale combinant des espaces de bureaux et des espaces de vente au détail. L’immeuble était attenant à l’une de nos propriétés résidentielles. Il m’est revenu avec une offre très raisonnable et acceptable parce qu’il avait reconnu le potentiel futur de cette acquisition et a voulu nous aider à aller de l’avant.
En tirant profit de l’expertise de First National en matière de la SCHL, Jody nous fournit beaucoup d’information que nous ne connaissons pas et voit des choses que d’autres peuvent ne pas voir. Nous avons récemment souscrit une hypothèque de rang égal, ce qui nous a aidés à minimiser notre exposition à de futurs risques dans le cadre d’un projet. Jody nous avait informé de ce qu’il allait faire et, entre trois et quatre semaines plus tard, c’était fait. Il démontre un empressement à creuser pour dénicher la meilleure transaction possible et ne se contente jamais de produits prêts à utiliser ou de solutions génériques.
Q : Qu’est-ce qui ressort le plus de votre relation de travail avec First National?
LL : First National prend le temps de vraiment connaître les gens et la nature de leurs activités commerciales. J’ai déjà été dans une situation où nous étions en pleine construction sur un site triple A. Malgré notre réputation dans le marché et nos relations avec les institutions financières plus traditionnelles depuis 20 ans, nous ne savions toujours pas comment notre projet serait financé. De telles absurdités ne font que nous ralentir.
Nous sommes aux commandes du projet et c’est nous qui prenons les risques. Si vous nous ralentissez, bien, nous ne voulons pas que vous fassiez partie de nos affaires. À l’inverse, First National prend les devants. Notre équipe de First National est un partenaire avant tout. Il nous fait confiance et nous aide à atteindre nos objectifs.
Q : Comment décririez-vous votre expérience avec First National?
LL : Authentique est le mot qui me vient en tête d’emblée. Notre équipe a un intérêt authentique pour ce que nous faisons et fait preuve d’authenticité dans son travail pour nous. Je suis toujours confiant d’obtenir la meilleure transaction possible. Je n’ai jamais eu à reconsidérer les propositions m’ayant été présentées. Jusqu’à ce jour, First National s’est occupée d’émissions totalisant 70 millions de dollars pour notre entreprise. Et je compte en faire encore plus. Pour nous soutenir dans notre croissance, je vais continuer de miser sur le financement, les conseils et le soutien de First National.