Financière First National SEC

Perspectives d’un emprunteur : Gerald Greenberg, président de Signet Group

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« Félicitations à First National pour avoir franchi l’extraordinaire jalon de 30 ans en affaires. Pour devenir le plus important prêteur hypothécaire non bancaire au Canada, une entreprise doit avoir fait les choses correctement. Nous, chez Signet Group, vous souhaitons de poursuivre votre croissance et votre succès. Félicitations en particulier à Peter Cook et aux membres de son équipe, qui ont toujours su répondre à l’appel et livrer la marchandise. »

Gerald Greenberg, CA-CPA a commencé sa carrière en comptabilité publique, avec un fort accent sur le secteur immobilier. Ayant toujours voulu s’engager davantage dans l’immobilier, Gerald a acheté une petite société de gestion immobilière en 1991 qu’il a nommée Signet Group. Il a maintenu le cap sur la gestion immobilière jusqu’en 1996. C’est cette année-là, sous la bannière de Signet Realty, qu’il a procédé à l’acquisition de son premier immeuble résidentiel multifamilial. À l’heure actuelle, Signet Realty détient un certain nombre d’immeubles à revenus dans son portefeuille.

Gerald partage ses points de vue sur l’évolution de l’industrie, sur pourquoi il apprécie la simplicité que First National apporte au processus de financement et sur ce qui a contribué à la longévité de First National.

Comment avez-vous vu l’industrie évoluer au cours des 30 dernières années?
GG : La conformité représente certainement une des principales évolutions. Aussi, l’industrie est devenue très concurrentielle. Il y a beaucoup d’acheteurs et de nombreuses institutions financières se font la lutte pour obtenir leur part du marché. À mes débuts, nous achetions des immeubles à des taux de capitalisation d’entre 8 et 10 pour cent. Depuis l’arrivée des sociétés de placement immobilier et des compagnies d’assurance dans le marché, les coûts d’achat ont monté en flèche. La situation est donc un peu plus complexe pour les propriétaires de petite à moyenne taille.

Quand avez-vous commencé à travailler avec First National?
GG : Nous travaillons avec First National depuis 22 ans, soit depuis notre toute première acquisition en 1996.

Pourquoi avez-vous initialement choisi First National et qu’est-ce qui fait en sorte que vous avez continué de choisir First National?
GG : Quelqu’un m’avait recommandé de communiquer avec First National alors que nous travaillions sur notre première acquisition. J’ai travaillé avec Peter Cook dans le cadre de cette première acquisition. Aujourd’hui, chaque fois que nous envisageons une nouvelle acquisition, je communique avec Peter et Evan. Simplement dit, ils me facilitent la tâche. L’évolution de la réglementation a eu pour effets d’alourdir le fardeau juridique de façon exponentielle et de multiplier les exigences relatives à la documentation. Malgré la réglementation et les exigences qu’elle impose, Peter et Evan aplanissent toutes les difficultés en cours de route. Leur attitude se résume comme suit : « Pas d’inquiétude, on s’en occupe. »

Comment First National vous a-t-elle aidé à faire croître votre entreprise?
GG : La capacité qu’ont Peter et Evan de simplifier le financement me permet de faire des acquisitions en toute confiance. Si le financement devenait une entrave, j’y penserais à deux reprises avant de procéder à un achat. Mais faire affaire avec First National me simplifie tellement la vie. Lorsque j’ai une acquisition potentielle dans la mire, je sais que je devrai avancer une mise de fonds de X dollars et que je n’aurai pas à m’inquiéter du reste. De plus, je suis heureux de pouvoir exploiter le réseau de Peter et d’Evan. Il arrive souvent qu’ils m’informent d’occasions potentielles ou encore qu’ils connaissent quelqu’un qui vend une propriété pouvant convenir à mon portefeuille. Ils prennent constamment le pouls de la situation et ne perdent jamais de vue l’importance d’assurer mon succès et ma croissance.

Aussi, ils sont créatifs et futés. Ils trouvent des façons innovatrices d’extraire de la valeur de mon portefeuille. Généralement, la plupart des gens attendent la fin du terme de l’hypothèque pour tirer profit de l’augmentation des valeurs immobilières et sortir des capitaux propres pour financer d’autres acquisitions. Cependant, à l’occasion, les valeurs immobilières augmentent à court terme. Nous avons connu du succès à obtenir du financement secondaire à des taux favorables, lequel est ensuite combiné au financement initial à l’échéance.

Qu’est-ce que vous appréciez en ce qui concerne votre relation avec First National?
GG : Ma relation avec Peter et Evan va au-delà de l’immobilier. Peter m’a considérablement aidé à développer et à diversifier mes intérêts commerciaux. Deux de mes fils travaillent avec moi dans l’entreprise, et Peter et Evan se font toujours un devoir de les faire participer à des activités organisées par l’industrie, à des activités d’apprentissage et à des possibilités de développement des affaires. Ils soutiennent mes fils efficacement et les aident à faire croître l’entreprise tout en leur permettant d’acquérir des connaissances essentielles sur l’industrie.

Trente ans marque une étape significative. Selon vous, qu’est-ce qui a contribué à la longévité de First National?
GG : First National assure un niveau de service inégalé dans l’industrie. La clientèle l’apprécie. Lorsque vous avez l’impression qu’on s’occupe de vous, vous voulez répéter l’expérience chaque fois que l’occasion se présente. Je n’ai pas eu beaucoup d’expérience avec d’autres prêteurs, principalement parce que je ne veux pas avoir à composer avec la bureaucratie. Le processus peut devenir complexe et rigide.

Par exemple, une grande institution financière m’avait sollicité à répétition pendant plus d’un an dans l’espoir de financer l’une de mes acquisitions. J’ai fini par céder, pensant que ce serait à mon avantage. J’ai partagé l’information sur l’acquisition que nous envisagions, puis le professionnel du financement de cette institution m’est revenu avec un taux astronomique. Lorsque je l’ai interrogé sur le pourquoi, il m’a répondu qu’il n’avait donné suite à ma demande que par courtoisie et que les hypothèques résidentielles ne représentaient pas une priorité stratégique à ce moment-là. Dans le fond, l’institution financière ne souhaitait aucunement répondre à nos besoins. Ça ne faisait aucun sens à mes yeux, mais ce fut une importante leçon pour moi et, depuis, je fais affaire exclusivement avec First National.