Façonner des carrières et faire une différence notable depuis 30 ans

CA : J’ai fait mes débuts en avril 1995, époque où nous n’étions que 15. J’ai été embauchée parce que j’avais des connaissances hypothécaires. Moray savait que je travaillais dans le secteur et nous nous étions brièvement rencontrés lors d’un événement. Les premières années, j’ai fait un peu de tout : des renouvellements, du service à la clientèle et de la souscription. En 1998, nous avons officialisé la création du service à la clientèle et du service de la souscription. Moray m’a permis de choisir entre les deux, et j’ai choisi la souscription. J’ai été cheffe d’équipe et gestionnaire pendant de nombreuses années avant d’accéder aux rangs de la haute direction.

CA : J’avais travaillé dans une banque et First National était donc un prêteur de plus petite taille que ce à quoi j’étais habituée. Nous avons connu des difficultés, mais Moray et Stephen m’ont incité à rester. Depuis toujours, c’est très agréable de travailler pour eux. J’ai vu leur vision et je savais que l’entreprise avançait dans une direction positive. Au bout d’un certain temps, First National était devenu pour moi un deuxième chez-moi. Nous étions une petite équipe qui était devenue une petite famille. Tout le monde était l’ami de tout de monde.

CA : Quelques mois après mon entrée en fonctions, First National a perdu un gros investisseur et nous avons dû supprimer des postes de souscripteur. J’étais la plus récente recrue et je pensais donc être la première personne à être remerciée. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que First National était l’endroit où je voulais être. La possibilité de perdre mon poste m’a fait réaliser à quel point je voulais le conserver.

CA : La croissance a dominé au cours de mes cinq premières années. Nous avons recruté, formé et renforcé l’équipe. En 2004, j’ai pris en charge la souscription et j’ai commencé à mettre en place une équipe dédiée à la souscription de prêts pour les clients existants. Nous avons dû commencer à partir de rien, créant des processus à valeur ajoutée en matière de transferts et de refinancements, par exemple. Nos clients s’attendaient à recevoir un certain niveau de service et nous devions trouver le moyen de répondre à leurs attentes. C’était une période charnière pour affiner et faire mûrir l’entreprise. En 2005, nous étions trois personnes à nous occuper de la souscription de prêts pour les clients existants. En 2019, notre équipe comptait 23 personnes.

CA : Lorsque tu évolues au sein d’une entreprise, ton nom évolue également. Au fil des ans, de nombreuses personnes ont dit : « Va demander à Connie, elle saura te répondre. » Je suis devenue une ressource de confiance pour les gens, et c’est toujours très agréable lorsqu’ils reviennent me dire comment je leur ai été utile ou combien ils sont reconnaissants de ce que j’ai fait pour eux. Le développement de l’équipe s’occupant des clients existants a été un tournant décisif pour First National. Les clients restent avec First National parce que nous leur offrons un plus large éventail d’options pour leurs prêts hypothécaires. C’est toujours plus facile de satisfaire ses clients existants que de les voir partir pour ailleurs. Aujourd’hui, chacun de nos bureaux a les capacités nécessaires pour s’occuper de nos clients existants.

CA : Je suis fière de cette entreprise. J’ai toujours eu l’impression d’être chez moi ici. Nous sommes traités comme de vraies personnes et l’entreprise ne fonctionne pas de manière hiérarchique.

CA : Stephen Smith m’a fourni mon premier mot de passe informatique dès mon premier jour. C’était linguini. Il y a cinq ans ou quelque, j’étais dans l’ascenseur et Stephen est entré. Il m’a posé des questions sur ma famille et m’a demandé si mon mot de passe était toujours linguini! J’ai trouvé ça très drôle. Comment s’en souvenait-il? Lorsque nous formions toujours une petite entreprise, Moray sortait de son bureau et demandait qui voulait du thé. Il s’occupait de l’infuser, puis venait nous porter une tasse à notre poste de travail. Le caractère informel, l’accessibilité, l’absence d’airs et la politique de la porte ouverte sont restés à ce jour. Nos relations n’ont jamais été dictées par nos titres respectifs.

CA : Nous gagnons la confiance. Pour First National, la confiance est primordiale et représente ce qui compte le plus pour les clients, les courtiers et les employés. Lorsque tu inspires confiance aux courtiers, ils s’en souviennent pour le prochain dossier. Il est essentiel d’établir une relation de confiance avec ton supérieur hiérarchique et ta vice-présidence. Dans ce secteur, ton nom et ta réputation sont essentiels.

CA : Au début de ma carrière, c’était un secteur à dominante masculine. Mais c’est différent chez First National. Nous avons tant d’excellentes femmes dirigeantes ici. Il n’y a aucune différenciation. Si tu travailles fort, on va te reconnaître.

CA : Une grande diversité règne au sein de notre entreprise. Nous sommes une entreprise tournée vers l’avenir, où les gens doivent se sentir égaux et inclus.

CA : Apprendre, apprendre et apprendre. Pose des questions. Participe. Choisis quelqu’un pour te mentorer et travaille avec cette personne. Fais-toi connaître. Si tu veux quelque chose, brille au-dessus de tous les autres. Si tu n’arrives pas à atteindre tes objectifs, fais preuve de curiosité et demande-toi vraiment pourquoi.

CA : Lorsque ma fille a eu quatre ans, elle a eu besoin d’orthophonie au privé. Je travaillais à temps partiel pour la banque et j’avais besoin d’un emploi à temps plein pour couvrir les frais. C’est alors que j’ai fait mes débuts au sein de First National. Moray a fait part de ma situation à Stephen, qui m’a donné le nom d’une orthophoniste de renom. Cette dernière a accepté de prendre ma fille comme cliente et a réduit ses honoraires pour la première année. C’est le genre d’êtres humains qu’ils sont. Et ce n’est qu’un parmi de nombreux exemples. Depuis le jour un, First National est une entreprise humaine qui se préoccupe des êtres humains. Et c’est une valeur que nous avons conservée au fur et à mesure de notre croissance.