Adam Dunn: Cultiver la collaboration et nourrir la confiance en soi afin d’apporter sa contribution

AD : J’ai commencé en juin 2015. Je traversais une période tumultueuse, marquée par de nombreux changements sur les plans personnel et professionnel. Je travaillais alors dans l’exploitation et la logistique pour Target et j’y suis resté jusqu’à la fermeture de certains des derniers magasins. Mon épouse voulait retourner sur les bancs d’école. Nous avons donc décidé de quitter la région de Guelph pour nous installer à Toronto. Nous étions tous deux à la recherche d’un emploi et mon beau-père m’a recommandé First National. J’ai posé ma candidature, même si je ne connaissais rien des prêts hypothécaires. Mais je m’intéressais beaucoup aux secteurs financier et bancaire. J’ai décroché un poste au service à la clientèle et c’est ainsi que j’ai commencé mon parcours au sein de First National.

AD : Même si j’ai fait mes débuts dans un rôle contractuel, je suis arrivé avec l’idée que j’allais travailler fort, apprendre autant que possible, me familiariser le plus possible avec First National et avec d’autres services. Je ne savais pas si j’allais rester avec mon équipe, mais je savais que je voulais être prêt à toute possibilité ou tout poste pouvant se présenter. C’était important pour moi de me bâtir une carrière durable au sein de First National. Je me suis promis de continuer à regarder ce qui m’attendait et de me demander honnêtement si ce que je faisais me convenait.

AD : Quand j’étais plus jeune, je croyais que le moment où je serais là où je devais être était celui où j’obtiendrais un certain poste ou encore une promotion ou reconnaissance donnée. Tout cela s’est produit au cours de ma carrière au sein de First National, mais rien de tout cela n’a été pour moi un moment où j’étais convaincu que j’étais là où je devais être. Pour moi, ça s’est fait de manière organique au fil du temps. Je me suis développé et j’ai évolué avec bien des personnes et j’ai noué des relations durables. Donc, mon moment à moi, c’était donc un ensemble de nombreux moments passés avec des collègues et d’autres personnes avec qui je travaille. Je me sens chez moi chez First National. C’est ici où je me sens à ma place. Je fais partie de cette culture et de cette communauté et je sais que j’ai fait les bons choix. 

AD : Pour moi, accéder à un poste de gestionnaire, puis à un poste de directeur. Je considère qu’il s’agit de jalons importants. Ce fut merveilleux de contribuer, d’être reconnu et de constater que mes efforts me permettaient de progresser. Mais j’ai le sentiment que la COVID a été une énorme étape pour moi et pour l’organisation. À l’époque, je dirigeais l’équipe du service à la clientèle. Nous devions répondre à des centaines de milliers de demandes et de questions et travailler en étroite collaboration avec de multiples équipes de service de gestion. Cette période m’a aidé à comprendre ce dont j’étais capable en tant que personne et en tant que leader. J’ai beaucoup appris à la volée et je devais travailler avec des personnes de partout dans l’organisation pour résoudre des problèmes. J’ai acquis la confiance et l’assurance qui m’ont aidé à accomplir tout ce que j’ai accompli depuis. 

AD : Nous travaillons dans un environnement de collaboration, de sorte que tout ce que nous réalisons est le fruit d’un effort collectif. Chaque personne qui franchit la porte contribue au succès de l’entreprise, car nous avons toutes et tous un rôle à jouer. Ce n’est pas juste une question de moi et de ce que j’ai accompli. Lorsque j’observe l’organisation, je vois tant de personnes que j’ai embauchées et formées au fil des ans et qui apportent aujourd’hui tant de contributions différentes. Je me sens honoré d’avoir participé à leur parcours, de les avoir encouragées, soutenues et motivées pour qu’elles poursuivent leurs rêves au sein de l’entreprise. 

AD : Je suis surtout fier des relations que j’ai nouées. J’ai eu la chance de travailler avec tellement de personnes formidables parce que j’ai participé à plusieurs projets différents qui ont touché différentes parties de l’organisation. Faire partie de ce groupe diversifié de personnes est très important pour moi. Nous avons travaillé ensemble pour résoudre des problèmes et trouver des solutions ayant permis à First National de progresser et d’être un endroit où il fait si bon travailler. Nous nous sommes constamment efforcés de trouver des moyens de mieux faire les choses. 

AD : J’ai un ensemble de souvenirs et de sentiments lorsque je repense à ces dix dernières années. Ça ne se limite pas à l’ardeur au travail. Il y a aussi les événements sociaux et le bénévolat. C’est une tapisserie de merveilleux souvenirs que j’ai créés avec mes collègues et les liens personnels que nous avons tissés.

AD : Nous visons à faire mieux. Je crois fermement qu’il est toujours possible d’améliorer les choses et de s’améliorer chaque jour. Je veux toujours laisser les choses dans un meilleur état que celui dans lequel je les ai trouvées. Chez First National, nous travaillons ensemble dans un but commun. Les idées ne manquent pas pour mieux servir les clients, les courtiers et les membres de l’équipe. Viser à faire mieux est un sentiment qui est partout autour de moi ici. C’est formidable de faire partie d’une telle culture. 

AD : Je pense qu’il est très important que tout le monde puisse être qui il est et se sentir à l’aise avec ce qu’il est dans un espace sûr et inclusif. Nos groupes de ressources pour les employés, Spaces et Traces, offrent d’excellentes occasions de rencontrer des gens de partout dans l’entreprise, d’écouter leurs histoires et de comprendre les défis qu’ils ont pu devoir relever au cours de leur carrière. Il n’y a pas deux parcours identiques. Et nous pouvons nous joindre aux parcours des autres et leur offrir notre soutien. Je pense que le fait d’amplifier la voix des gens et de faciliter cette éducation est une véritable source d’inspiration. 

AD : Ne sous-estimez jamais les résultats que vous obtiendrez en travaillant fort. Mais ne négligez jamais votre engagement à apprendre. Le travail hybride peut compliquer la mise en place de possibilités organiques d’apprentissage. Trouvez un moyen de franchir cette barrière virtuelle. Décrochez le téléphone et posez des questions. Les gens veulent partager leurs connaissances et ce qu’ils font. Cette connaissance combinée à une ardeur au travail est la recette du succès. 

AD : Nous ne faisons qu’effleurer la surface de ce que nous pouvons être. Nous avons tellement grandi et avons beaucoup accompli en 35 ans. Mais nous n’en sommes qu’à nos débuts. Tout repose sur nos valeurs. Nous voulons continuer à nous améliorer en tant qu’entreprise. Des projets passionnants se profilent à l’horizon et ce sont des projets qui feront de First National un lieu de travail encore meilleur.