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Ramène-nous au début de ta carrière chez First National.

CW : J’ai commencé en mai 2015, après le lancement de SHTD. Auparavant, j’avais été souscriptrice pendant huit ans pour l’une des grandes banques. Certains de mes collègues de la banque qui étaient passés à l’emploi de First National m’ont encouragée à poser ma candidature. Comme il n’y avait pas aucun poste à pourvoir dans le service de souscription, j’ai donc passé un entretien pour un poste d’AHA. J’ai quitté l’entretien avec une offre d’emploi en poche et c’est ainsi qu’a commencé ma carrière chez First National.

À quoi a ressemblé ta première année?

CW : Ma première année s’est déroulée à un rythme effréné. Les volumes de SHTD ont décollé dès le lancement et notre croissance a été immédiate. Quelques semaines plus tard, j’ai été promue au poste de souscriptrice. First National offre une tonne d’occasions à saisir à quiconque est prêt à travailler dur et à faire connaître ses objectifs. Tout le monde était très accueillant et amical. Nous étions là tous ensemble, comme une équipe travaillant à l’atteinte d’un objectif commun.

Quel a été le moment qui t’a convaincue que tu étais là où tu devais être?

CW : C’est le fait de vivre la culture et de faire partie de la famille First National qui m’a donné envie de rester. Même si nous formons des équipes distinctes, nous agissons comme une seule et grande équipe. Nous sommes tous là pour nous entraider. J’ai tissé de grandes amitiés au sein de l’équipe et je sais que ces amitiés seront durables.

Décris quelques étapes importantes de ta carrière.

CW : Ma promotion au poste de gestionnaire et cheffe d’équipe en 2016. De retour de vacances, j’ai appris que mon gestionnaire avait démissionné. C’est Marion, ma directrice, qui m’a encouragée à poser ma candidature. Elle m’a incité à saisir l’occasion qui se présentant, tout en m’assurant que j’étais prête. J’étais nerveuse à l’idée de gérer une équipe de dix personnes. C’était tout un saut. Mais c’est le fait que quelqu’un que je respectais tant ait vu quelque chose en moi qui a fait toute la différence.

Quelle marque as-tu laissée sur l’entreprise?

CW : J’adore être mentore et aider les gens à grandir. Le fait de voir les gens prendre des initiatives et avoir envie d’apprendre fait que tout ce que je fais en vaut la peine. Je m’investis sans réserve jour après jour et j’espère que mes points de vue sur la manière de faire avancer les choses seront utiles. Lorsque nous rédigeons des politiques, nous nous réunissons tous ensemble pour partager nos idées et parvenir à un accord commun sur la bonne politique à mettre de l’avant. Nous procédons ensuite par itération. Au cours de ce processus, je partage ce que j’entends des courtiers et des employés que j’encadre. Nous utilisons cette information pour affiner et mettre en place une politique qui est claire et que tout le monde comprendra.

Quelle est ta plus grande fierté à propos de ta carrière?

CW : Mon équipe est ma plus grande fierté. J’ai vu tant de membres de mon équipe accéder à de nouvelles fonctions. Quatre des gestionnaires/chefs d’équipe de l’équipe des Prairies ont fait leurs débuts au sein de mon équipe. Je suis très fière de savoir que j’ai aidé des personnes à atteindre leurs objectifs. Ces personnes ont travaillé fort, je les ai encouragées et je leur ai donné l’occasion de voir leurs efforts reconnus.

Quels sont tes meilleurs souvenirs?

CW : Mon premier party des fêtes. C’est là où on voit les gens au naturel. Tout le monde se laisse aller et s’amuse à l’extérieur du cadre du travail. J’ai aussi beaucoup aimé participer au congrès sur le leadership en gestion qui s’est déroulé à Kelowna en 2020. Des personnes différentes de différentes régions du pays s’y sont réunies pour apprendre les unes des autres. Nous avons passé une soirée formidable à l’Okanagan Table, où nous avons pu participer à la préparation des repas. Je me souviens avoir décortiqué des crevettes avec Scott McKenzie. Ces expériences intéressantes et uniques donnent aux gens l’occasion de se désarmer davantage et de nouer des liens très profonds.

Laquelle des valeurs de First National résonne le plus à tes oreilles et pourquoi?

CW : Toutes ses valeurs ont une résonance pour moi. Nous nous efforçons toujours de faire mieux et d'encourager celles et ceux qui nous entourent à faire de même. Nous nous efforçons d’établir des relations de confiance, en interne, avec les courtiers et les chargés de comptes de la TD. Nous encourageons tout le monde à partager ses idées afin que tout le monde se sente écouté tant sur le plan personnel que professionnellement. Chaque personne vient travailler et donne le meilleur d’elle-même. Si nous commettons une erreur, nous le reconnaissons, nous en prenons la responsabilité et nous la corrigeons.

Comment c’est de travailler chez First National en tant que femme et qu’est-ce qui t’inspire?

CW : Je n’ai jamais ressenti la moindre différence liée au genre chez First National. Il y a beaucoup de femmes fortes dans cette entreprise, qui occupent des rôles très différents, et elles m’inspirent toutes. Mais Marion a été l’une de mes plus grandes sources d’inspiration en raison de sa force et de son attitude fonceuse. Elle était une force et connaissait ses dossiers. Elle était là pour nous et s’assurait que nous recevions la meilleure aide et le meilleur soutien possibles. Jenna a également eu une influence importante sur ma carrière. Je lui adressais mes questions et je la consultais lorsque j’avais besoin de conseils. Et quand je lui disais que j’avais commis une erreur, elle répondait simplement « Quoi? T’es pas parfaite? » C’est ce qui m’a permis de réaliser qu’il n’y a pas de mal à faire des erreurs tant qu’on en tire des leçons. C’est l’approche que j’utilise aujourd’hui avec mon équipe. Il est possible de corriger presque tout et chaque erreur est une occasion d’apprendre. Je relève actuellement de Renu Parthui. Elle est mon interlocutrice quotidienne et j’ai beaucoup de respect pour elle et pour la force qu’elle dégage.

Pourquoi nos événements tels que le Mois de l’histoire des Noirs, la Journée internationale des femmes et la Fierté sont-ils si importants et constituent-ils des moyens si concrets de célébrer la diversité?

CW : Les programmes de diversité de First National sont très efficaces, tout comme son travail de sensibilisation à la diversité. De tels événements rassemblent les gens pour qu’ils apprennent et célèbrent notre singularité. Il est tellement important de comprendre les cultures et les expériences des autres. Et comme le dit la chanson de Depeche Mode, « people are people ». Indépendamment des questions de genre, de croyances religieuses, d’origine ethnique et d’orientation sexuelle, nous sommes tous des êtres humains. Notre dernier événement de la Fierté a été tellement amusant. Tout le monde s’est laissé aller. Ce fut amusant de voir tout le monde réuni comme ça, sans prétention.

Quels conseils donnerais-tu à des personnes qui développent leur carrière chez First National?

CW : Travaillez fort. Prends l’initiative de tendre la main et d’apprendre de nouvelles fonctions. Fais connaître tes objectifs. Trouve un mentor et pose-lui des questions. Fais preuve de patience. Le poste que vous souhaitez n’est peut-être pas vacant, mais tu arriveras à tes fins grâce au temps et à force d’intention.

Quelque chose à ajouter en conclusion?

CW : Il est important d’atteindre ses objectifs et d’être soi-même. Tu peux faire tout ce que tu veux, et tu y arriveras si tu travailles dur pour y arriver

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