Kristina Morrison: L’importance des mentors : en trouver un au fur et à mesure qu’on grandit et en être un pour les autres

Ramène-nous au début de ta carrière chez First National.

KM : J’ai commencé en 2004. J’étudiais en vue d’obtenir mon permis d’agent immobilier et quelqu’un m’a parlé de First National. J’ai fini par rencontrer Marion Klien, qui était directrice à l’époque, et j’ai été embauchée avant même de quitter la rencontre. Le secteur des prêts et le travail correspondaient davantage à qui j’étais que l’immobilier. Pendant une période de deux ans, j’ai occupé des fonctions liées au financement, à la rémunération des courtiers, à l’exécution et à la souscription. C’est en 2006-2007 que je suis passé aux ventes. Depuis, je travaille en vente et c’est en 2019 que je suis devenue directrice.

À quoi a ressemblé ta première année?

KM : Elle fut inspirante. Il y avait beaucoup de gens qui commençaient en même temps que moi parce que l’entreprise enregistrait une croissance rapide en Colombie-Britannique. Il y avait beaucoup d’occasions à saisir pour quiconque était prêt à y mettre du sien. C’était un environnement dynamique axé sur l’apprentissage et la croissance.

Quel a été le moment qui t’a convaincue que tu étais là où tu devais être?

KM : J’ai toujours eu le sentiment que mes idées et mes opinions étaient entendues et valorisées. C’est ce qui me motive à ce jour. J’ai eu l’impression que je faisais partie de quelque chose de plus grand.

Décris quelques étapes importantes de ta carrière.

KM : Les choses se sont vraiment mises en place pour moi alors que j’étais souscriptrice. C’est alors que j’ai découvert les rouages et les mécanismes d’un dossier hypothécaire. Lorsque je suis passée aux ventes, j’étais très polyvalente, car j’avais l’expérience de toutes les fonctions. Le fonctionnement de First National n’avait plus aucun secret pour moi. C’est le fait d’être une femme dans la vingtaine qui se présentait comme une experte en la matière et qui brisait les perceptions qui m’a habilitée.

Quelle marque as-tu laissée sur l’entreprise?

KM : Les courtiers me disent toujours ceci : « Quand nous pensons à First National, c’est à toi que nous pensons. » J’incarne les valeurs de First National pour les courtiers dans ma façon de répondre présente, dans mon expertise et dans ce que j’apporte aux relations.

Quelle est ta plus grande fierté à propos de ta carrière?

KM : Mon équipe. Je dirige l’équipe des ventes en Colombie-Britannique et j’adore la façon dont nous travaillons ensemble. Notre équipe accorde de l’importance au partage d’idées, à l’entraide et à la collaboration. Nous travaillons ensemble pour organiser des webinaires de formation à l’intention des courtiers, créer des documents de formation et élaborer des présentations, l’objectif étant toujours de mettre à la disposition des courtiers les meilleures ressources possibles.

Quels sont tes meilleurs souvenirs?

KM : J’ai toujours aimé me retrouver avec des collègues de partout au pays à l’occasion de nos congrès de vente. En tant que gestionnaire de comptes, j »ai toujours trouvé ces congrès particulièrement motivants. Dans mes fonctions actuelles, j’aime également ces moments et le partage de meilleures pratiques.

Laquelle des valeurs de First National résonne le plus à tes oreilles et pourquoi?

KM : Nous gagnons la confiance. Je suis une source d’information fiable pour les courtiers. Ils savent que si je leur promets une réponse, je l’obtiendrai pour eux. La confiance est le fondement de nos relations avec les courtiers. Ces derniers ont une confiance totale en nous pour nous confier leurs clients, car ils savent que nous avons leurs intérêts à cœur.

Comment c’est de travailler chez First National en tant que femme et qu’est-ce qui t’inspire?

KM : Beaucoup de gens parlent des défis auxquels sont confrontées les femmes dans notre secteur. Je n’ai jamais ressenti rien de cela chez First National. J’ai toujours pensé que toutes les occasions étaient à ma portée. Je compte parmi mes collègues de nombreuses femmes solides qui m’ont mentorée et ainsi contribué à ma réussite au sein de l’entreprise. Par exemple, Jenna Dreyer et moi-même avons commencé en même temps et nous nous sommes entraidées dans nos carrières respectives au fil des ans. Scott McKenzie a aussi été une personne d’un soutien incroyable. Il incarne la culture de First National. Il est très stimulant de continuer à grandir avec autant de personnes extraordinaires au sein de l’entreprise.

D’après ton expérience, comment la culture de First National valorise-t-elle la diversité et met-elle en valeur les voix et les perspectives de tous les membres de l’équipe?

KM : Des idées, ce sont des idées. Tout le monde est entendu, quelle que soit sa place dans la hiérarchie. Les contributions de chaque personne sont valorisées.

Quels conseils donnerais-tu à des personnes qui développent leur carrière chez First National?

KM : Faites preuve d’ouverture à apprendre de tout le monde, car vous ne savez jamais où vous voudrez avancer dans votre carrière. Saisissez toutes les occasions qui se présentent à vous. Posez des questions. Trouvez une personne prête à vous servir de mentor. Faites connaître vos aspirations professionnelles. Prenez l’initiative d’apprendre. Apportez de l’aide en dehors de votre travail. Cherchez des occasions de vous plonger là où vous voulez aller, pas seulement là où vous êtes. Jouez un rôle actif au sein de votre équipe et acceptez de jouer véritablement en équipe.

Quelque chose à ajouter en conclusion?

KM : J’ai encore au moins 20 ans devant moi. Il reste encore beaucoup à faire, et j’ai hâte de découvrir ce qui m’attend en ce qui concerne la suite des choses. Ce secteur est en perpétuelle évolution. Je suis enthousiaste à l’idée de m’adapter continuellement à ces changements et de continuer à croître.